Ici une guerre, là un accident, ici une bagarre, là une manifestation, ici des poissons morts, là des fruits à jeter, ici une rivière qui s'étouffe, là des oiseaux mazoutés... ici une maman gifflée, là un papa sans emploi, ici un enfant maltraité oh la la trop c'est trop,
Quand j'y songe
mon coeur s'allonge
comme une éponge
que l'on plonge
dans un gouffre
où l'on souffre
des tourments
tellement grands
que quand j'y songe
(on peut le dire plusieurs fois de suite, varier le ton, le hurler, le dire tout doux tout doux, puis ne plus le dire du tout et conclure... en entrant dans une histoire ou comme moi en terminant ce billet ainsi :
Quand j'y pense
ce blog est à vous chers enfants, pour que vos coeurs ne s'allongent plus comme des éponges
et que "touzieux" grands ouverts vous puissiez inventer ou lire des "zistoires" ou faire des fautes exprès pour vous amuser avec les mots et offrir votre poésie... Poète, vous l'êtes. Evadez-vous, ouvrez les fenêtres de votre tête et de votre coeur et courez à toute allure sur les chemins de mots, en paragraphes phrasés et ponctués. Rythmez, un, deux, trois, un deux, trois, un deux, un deux, un deux.... site à vous, site pour vous. Un point c'est tout.
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